Columbus in KSC's SSPF
Columbus attend son heure à Cap Canaveral
 

Le cerveau de Columbus est né à Toulouse

http://www.futura-sciences.com/news-laboratoire-spatial-europeen-colombus-ne-sera-pas-lance-avant-2007_2526.php

 

16 octobre 2006
Le laboratoire européen Columbus est actuellement en préparation aux Etats-Unis pour un lancement prévu dans tout juste un an. Le module a été intégré en Allemagne, mais son système de gestion informatique ainsi que le laboratoire Biolab ont vu le jour dans la « Ville Rose ».
 
Avec le retour en vol de Discovery en juillet et le vol d'Atlantis en septembre, l'assemblage de la Station Spatiale Internationale (ISS) a repris, ouvrant la voie à un lancement du laboratoire Columbus à l'automne 2007. Au début du mois de juin, le module européen a été transféré à Cap Canaveral, en Floride, où il attendra d’embarquer à bord d’une navette spatiale pour rejoindre l'ISS et entamer sa mission.

Lorsque l’Agence Spatiale Européenne a lancé les premières études sur le laboratoire Columbus, en 1984, l’Europe venait à peine de faire voler son premier laboratoire spatial habité, le Spacelab, à bord de la navette américaine. A la suite du succès de cette première incursion européenne dans le domaine du vol habité, c’est à l’équipe chargée de développer le système de gestion informatique du Spacelab qu’a été confiée la tâche d’imaginer son équivalent à bord de Columbus.

En passant du Spacelab à Columbus, la problématique de la gestion informatique changeait du tout au tout. Le premier, fruit de la technologie des années 1970 et installé dans la soute de la navette, était entièrement dépendant de cette dernière pour toutes les servitudes. De plus, il n’était conçu que pour des missions de deux semaines au maximum, au cours desquelles une série d’expériences clairement prédéfinies devaient être effectuées.

Pour Columbus, l’objectif est bien plus ambitieux. Le laboratoire doit rester opérationnel pendant 10 ans et recevoir quelque 500 expérimentations par an, dont certaines utiliseront des équipements multi-utilisateurs. Il doit aussi pouvoir s’adapter à l’évolution des conditions opérationnelles.  
 


Le DMS représente à lui seul la moitié de la contribution industrielle française au module. Il est constitué de très exactement 252,7 kg de matériel réparti en une quarantaine d’équipements installés dans le plancher et une des parois de Columbus et surtout d’un logiciel d’environ 160 000 lignes de code en Ada et en langage C, plus adapté à la gestion des activités en temps réel. « Un tel volume de code pour un logiciel embarqué est énorme », note Yvon Choquer. « Pour le matériel, nous avons dû développer huit types d’équipements spécialisés dont des unités de communication, des mémoires de masse, des calculateurs et des unités de gestion de puissance électrique ».

Autre équipement développé à Toulouse et intégré à bord de Columbus, le laboratoire Biolab, est destiné aux sciences de la vie. Sa maîtrise d’œuvre a été attribuée directement à EADS Astrium par l’ESA dans le cadre du programme de recherches en microgravité à bord de Columbus.

« Biolab représentait un sacré défi car c’est un équipement complexe où toutes les technologies se retrouvent : informatique, électronique, mécanique des fluides, robotique.....Dans le programme ISS, la France contribue à hauteur de 27,6%, mais la principale priorité française se situe d’avantage au niveau du cargo automatique ATV que du module Columbus », relève Alan Thirkettle, directeur de département développement au sein de la Direction des Vols Habités de l’ESA. « Néanmoins, pour la réalisation du module lui-même, la part industrielle française représente environ 20% du total

http://www.esa.int/esaCP/SEM3ESVT0PE_France_0.html

 


IMPOSSIBLE  !!   NON

Genesis 1 a été lancé le 13 juillet 2006 par un lanceur Dnepr depuis la base russe de Dombarovsky. Il s'agit d'un prototype de station spatiale habitable à l'échelle 1/3 des modules qui formeront le futur hôtel orbital qui est le rêve personnel du milliardaire américain Robert Bigelow.

Ce premier exemplaire, est constitué d’un matériau en fibres de carbone et de Kevlar, ainsi que d'un revêtement qui devrait le protéger des débris spatiaux et des impacts de micrométéorites. Il pèse 1270 kilogrammes et mesure dans sa configuration de lancement 4,26 m de long pour 1,2 m de large. Il embarque à son bord des effets personnels des employés de Bigelow, 13 caméras, ainsi que des insectes.

Le prototype d'habitat gonflable Genesis 2 devrait être lancé le 30 janvier 2007 au moyen d'une fusée Dniepr tirée depuis un silo souterrain dans la région de Orenburg (Russie). Si les résultats confirment l'excellent comportement en orbite de Genesis 1, en place depuis le 12 juillet 2006, Bigelow Aerospace envisage la mise en place de la première station spatiale privée durant le dernier semestre 2009 ou le premier semestre 2010.


http://www.futura-sciences.com/news-premiere-station-spatiale-privee-prevue-2010_9665.php

ou va t-on !!!!