anniversaire  1965- 2005    1965 - 2006

wpe1A.jpg (13298 octets)

Ce dessin fait reconnaître la structure de la capsule spatiale Gémini des Américains. Elle était assez spacieuse pour 2 pilotes. Ceux-ci se trouvaient placés dans des chaises de contour lesquelles imitaient les formes individuelles de leurs corps. De cette manière la contre-pression devint plus facilement tolérable. Derrière les pilotes se trouvait la housse de protection contre la chaleur, avec laquelle en avant la capsule entra lors du retour dans les couches plus épaisses de l'atmosphère. Les deux parties contiguës qui étaient peintes de blanc furent séparées avant la rentrée de la capsule. Ce sont les rétrofusées et la partie pour l'approvisionnement et pour les manœuvres (dans l'illustration à l'extrême gauche). Cette partie-ci contient des réceptacles avec de l'oxygène pour la respiration et des propulsifs additionnels. Le programme Gémini comprenait un total de dix vols habités entre mars 1965 et décembre 1966

wpe1C.jpg (13725 octets)

John Young et Michael Collins, pilotes de la capsule Gémini-Titan 10. Durant le vol qui dura à peu près 3 jours en juin 1966 il y eut des rendez-vous avec deux engins Agéna. Michael Collins démonta une plaque de micrométéorites fixée à l'Agéna 8.

wpe20.jpg (11868 octets)

Lancement d'un engin Atlas-Mercure sur le Cap Kennedy, nommé en ce temps-là Cap Canaveral Cette capsule pesait 1,8 tonnes et fut placée sur orbite par l'Atlas qui avait une hauteur de 20,5 m. Au moment du décollage l'engin avait un poids de 116 tonnes. L'Atlas possède 3 propulseurs, desquels 2 sont jetés loin après un vol de 2 minutes. Le propulseur rio. 3, au centre, brûle pendant 5 minutes. Après ce temps de vol l'engin et la capsule se trouvaient dans une' altitude d'environ 160 km et avaient atteint une vitesse d'à peu près 28000 km/h, c'est-à-dire la vélocité de révolution nécessaire. A l'aide d'engins additionnels alimentés par des substances solides l'Atlas et la capsule spatiale furent séparées l'une de l'autre. L'engin Atlas circulait autour de la terre comme satellite artificiel, indépendamment de la capsule.

wpe22.jpg (12236 octets)

Dans des chambres spatiales on s'efforce de simuler les états de l'espace au-delà de la terre. Fermées hermétiquement des personnes expérimentales ont déjà séjourné beaucoup de jours dans de telles chambres. Ils n'ont une connexion avec le monde extérieur que par des appareils de radiotéléphonie, qu'ils emploient occasionnellement. Il est possible d'évacuer les chambres de sorte que l'on peut simuler les altitudes les plus différentes au-dessus du sol de notre terre. Il va de soi que les sujets expérimentaux -sont vêtus de combinaisons pressurisées pendant de tels expérimenta. Dans d'autres installations expérimentales qui sont à peu près du même genre, on est à même de produire des températures très hautes et très basses. Tous ces essais doivent trouver les limites de la chargeabilité de l'homme et constituent une partie de l'entraînement d'un cosmonaute.

wpe1E.jpg (9113 octets) 

anniversaire 1962 /2002

 

Premier lancement (à titre d'essai) d'une Saturn 1 avec un 2e étage actif, le 25 avril 1962 dans le Cap Kennedy. Le 2e étage atteignit une orbite elliptique à des altitudes de 256 à 640 km. Il pesait 17 tonnes, avec le lest à bord. Durant ce vol il n'y avait pas des instruments de satellite. Après cela il y eut 5 autres vois sans échecs par le moyen de fusées non-habitées du type Saturn 1. Au cas de 3 de ces vois il était possible de porter des satellites de micro-météorites du type Pégasus sur l'orbite. Le 10e vol d'une Saturn 1 concluait le programme d'expérimentation quant à cet engin. La continuation des essais fut faite par le moyen de la Saturn 1 perfectionnée (autrefois nommée Saturn I-B). Poids de décollage de la Saturn: 495 000 kilos, poussée de lancement: 680 000 kiloponds, longueur de l'engin: 38,5 m.

wpe27.jpg (16323 octets)

Un satellite de navigation du type Transit. Il fut développé par la Marine Américaine et fait partie d'un essai d'employer des satellites terrestres artificiels en qualité de ressources de navigation pour des avions et vaisseaux de même que pour l'orientation sur la surface de notre globe et pour la perfection des indications qui concernent la forme de la terre. Le Transit IV-A dans notre image est le premier satellite qui a avec lui une batterie de radio-isotopes pour l'approvisionnement en énergie. Il fut lancé le 29 juin 1961. Sur le satellite Transit on avait monté deux autres satellites. Ce fut donc le premier lancement de satellites triple. Les deux satellites additionnels se séparaient selon le projet du Transit IV-A, mais non pas l'un de l'autre.

On transporte une fusée Atlas à la rampe de montage et de lancement. Le dispositif pèse, sans charge utile, 12500 kilos et a une longueur de 20,5 m. Il est levé et placé verticalement à la faveur d'une grue. Alors on commence le montage du poids utile et le contrôle scrupuleux de la fusée: Poids de décollage de l'Atlas: 118000 kilos, poussée de départ: 164 000 kiloponds. L'Atlas fut réalisée de 1954 à 1959 comme fusée à portée longue pour la force aérienne des États-Unis. Elle possède 3 propulseurs principaux, deux desquels sont jetés loin après 130 secondes. Pour cette raison cet engin est, quelquefois nommé "à 2 étages" ou "à un étage et demi".

wpe24.jpg (14184 octets)

MA-6, la première capsule spatiale habitée du type Mercure, avec laquelle il y eut un vol sur l'orbite autour de notre globe, après l'amerrissage le 20 février 1962. Le pilote de cette capsule spatiale était le cosmonaute John Glenn. Comme le premier Américain il tournait autour de la terre sur une orbite de satellite. Au cours de 4 heures et 56 minutes il volait autour de notre globe trois fois à des hauteurs de 160 à 227 km. L'image montre la capsule quelques minutes avant son sauvetage. Elle est déjà combinée avec le vaisseau de sauvetage par une corde. La couleur verdâtre de l'eau à droite de la capsule provient d'une substance chimique que les capsules américaines lancent (éloignent) automatiquement après l'amerrissage. De cette manière les pilotes des avions d'investigation sont en état de reconnaître beaucoup plus facilement la capsule qui flotte sur I'eau.

.